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EnviroMission croit en la faisabilité du concept et de la construction aux échelles voulues. Toutefois, ces échelles sont comparables à celles de la centrale de Loy Yang, et les questions concernant l'apport en matériaux sont toujours en discussion. Les principales questions restent :

1. L'Australie, ou les autres sites viables, peuvent-ils subvenir économiquement aux besoins en matériaux – 20 km2 de verre et/ou de plastique et 400 000 mètres cubes de béton?  (Loy Yang a requis pour sa part 450 000 mètres cubes de béton)

2. Existe-t-il un matériau transparent convenable au niveau de la transmission optique et de l'isolation thermique?

3. Serait-il plus facile de construire la tour par sections, puis pomper le béton au sommet pour le montage d'une autre section, ou le pré-fabriqué est-il plus approprié?

La faisabilité pratique a été confirmée par les évaluations des ingénieurs de la firme Sinclair Knight Merz et des experts mondiaux en grandes structures, comme le professeur émérite Bill Melbourne, du Department of Mechanical Engineering à l'Université de Monash. Le véritable défi pour EnviroMission est plutôt d'établir la faisabilité économique, et de se créer un support d'investisseurs sur le long terme .